[Scatophile] Dewee raconte sa journée de merde ! :hap:

Tout commence ce midi, vers 14h. Je voulais aller bosser à la bibli en centre ville, donc je monte dans ma voiture, et je pars à la recherche d'une place gratuite.
Seulement, je commence à avoir une envie de caca m'voyez. Rien de bien méchant, mais fallait pas trop tarder non plus. Et comme par hasard, pas de places de dispo. L'envie de chier se renforçait de plus en plus, je me suis donc résigné, en gros rebelle que je suis, à me garer sur une place payante, SANS PAYER, sisi

M'enfin ça c'était le plus simple. Maintenant reste à trouver des toilettes, sachant que je n'en pouvais vraiment plus, et que je m'étais arrêté dans une avenue daubée.

Du coup je rentre dans le premier batiment que je croise, je crois c'était un truc administratif pour le rectorat, une merde du genre. Je cherche des WC, mais apparemment ils n'en avaient pas, car j'ai rien trouvé (et comme par hasard personne, vraiment des branleurs ces fonctionnaires ).
Pas grave (en fait si, j'étais en stress total, je flippais trop de pas trouver de WC à temps ), je retourne dans la rue, je réfléchis à un endroit où je pourrais lâcher mes sphincters, mais dans cette rue, il n'y a pas grand chose à part des appartements de gros bourges. Et là ça a fait tilt, il y a un hôpital à l'autre bout de la rue. Donc va pour l'hosto, en espérant arriver à temps.

En chemin, j'essayais d'imaginer ma tête, genre tout blanc, qui transpire, stressé à mort. Je me serais bien arrêté pour voir ma tronche dans une vitre, mais bon, pas le temps.

Enfin, l'hôpital approche, je vais pouvoir revivre, sauf que ça aurait trop simple si ça terminait comme ça. J'aperçois une fille qui se dirige vers moi et qui me dit vaguement quelque chose.
Quand on s'est croisé, elle m'a reconnu, et me dit "HEY DEWEE, COMMENT CA FAIT LONGTEMPS !!!", c'était une amie du lycée. Comme si j'avais besoin de tomber sur elle à ce moment là.
Du coup on parle très vite fait, je lui fais croire que je dois aller déposer un papier à l'hosto, et que comme je suis garé comme un rebelle, je dois me dépêcher (j'allais pas lui dire "SLT ATT JE V FAIR KK JE REVI1 "). Du coup elle me sort "Ah ok, bah maintenant que je suis revenu en ville, faudra qu'on se capte !".
Ouais t'inquiètes bébé, je te referais les fesses... quand je me serais occupé des miennes

Cet obstacle franchit, je me suis mis à ramper jusqu'à l'entrée de l'hosto. J'aurais préféré courir, mais mon caleçon n'aurait pas apprécié. Par chance, les toilettes étaient juste à l'entrée, et personne dedans omfg. Du coup je me suis incrusté, et mon dieu, cette sensation de victoire et de soulagement

J'ai terminé le niveau sans perdre de vie, dans le temps limite. Noraj' Dieu, j'attends le stage 2.

La partie entre le moment où il rentre dans les WC et le moment où il en sort :

Citation :

Je me préparais au combat. Je le sentais arriver depuis une heure, il était fou de rage, mais je le contenais. Celui-là, je le savais, après qu'il soit passé je n'allais plus être le même.

Je prends une balance portable (oui j'ai une balance portable sur moi). Je me pèse : 43,8 kg. Puis j'entre dans le cabinet de torture. Là, je m'assois sur le trône. Il arrive, en courant, je sens qu'il est prêt à faire exploser toute sa rage en semant la douleur sur son passage, passage qu'il n'allait pas hésiter à forcer s'il le fallait. Il était tout prêt, à présent. Il commençait à sortir de l'endroit qu'il avait tant haït, dans lequel il avait séjourné pendant près d'une semaine.

Ça y est. Mon heure est arrivée. Le guerrier sanglant commence à me déchirer l'Anus(appelons le A). Et il n'en finit plus de s'élargir : à présent, je souffre, je crie, je hurle à la mort. Il tombait très lentement : je sentais malgré ma douleur aveuglante qu'il tenait à me faire subir le pire calvaire possible.

J'en avais déjà sorti une bonne partie. Enfin, je croyais. Il continuait, n'en finissait plus. Je voulais mourir. Il sort, il sort, il sort... J'avais l'impression d'accoucher par le déjecteur. Et là, je sens plus rien. Il est enfin sorti ! Il s'écrase dans un tsunami d'éclaboussures qui viennent passer entre mes jambes pour aller se propulser au plafond. Le tout dans un vacarme absolument infernal : la cuvette allait lâcher. Je m'essuie tout ce qui a servi, puis regarde mon ennemi dans les yeux, bien qu'il n'en ait pas : il ne s'était pas couché. Il était là, appuyé contre la paroi de la cuvette, droit et fier comme un coq. Il devait mesurer une trentaine de centimètres de long, et plus de 5cm de diamètre. Il domine le papier que j'ai jeté.

Je tire la chasse : le papier part, mais lui est intact. Comme si il ne s'était rien passé. Je sors le sabre laser : le le coupe en deux, en quatre, en huit, en mille. Je fais tout avaler progressivement : c'était long, long, long ! Il était coriace le bétail ! Il ne restait plus à présent qu'un petit morceau à faire partir. J'enfonce la chasse d'eau avec mon poing. Il dégage au plus vite.

Ça y est : mon ennemi juré est parti chez Satan. Et il ne reviendra pas. Mais il aura laissé des traces indélébiles, marrons dans la cuvette, mentales dans mon cerveau, sanglantes sur mon A. Mais je l'ai vaincu.

Je sors au plus vite de la cabine, essoufflé et marqué à vie après tant de tortures. Je ressors la balance : je pesais à présent 43,3 kg. La bête pesait un demi-kilo.

Bref, j'ai chié.

C'est de la merde ton histoire LOLOLOL

Ptin mais Onch, ça correspond pas du tout, j'avais le rhume du cul

Omfg, épique la manière de raconter

Enfin j'avais la musique " Metal Gear Saga " en fond

Je l'ai raconté le plus fidèlement possible à la manière dont ça c'est déroulé

J'ai vu

j'aime bien al partie de Onch aussi imagée

AAhh ces étrons

Ton moment préféré c'est quand ça passe hein avoue ?

ne prends pas ton cas pour une généralité ololz